
Droits d'auteur et propriété intellectuelle
Billet dédié à une dame, belle, talentueuse et ensorceleuse, qui se reconnaîtra.

Les droits d'auteur pour les oeuvres littéraires, en France,
ont été défendus et établis par les efforts de Beaumarchais et Balzac.
Pour commencer la démonstration, il faut, et il suffit d'examiner deux oeuvres littéraires, le film Le diner de cons de Jacques Veber, ancien psychiatre, et L'esprit des lois de Montesquieu, ancien magistrat.
Le film Le diner de cons est la preuve indiscutable qu'il ne faut pas s'attaquer systématiquement à plus faible que soi-même. Sinon, votre Dame de Coeur verra bien que vous n'êtes qu'un pleutre, un lâche, un minable, bref un imposteur, un simulateur, un perdant (loser en globish), et elle vous larguera sans aucun souci, et avec raison.
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Pierre Corneille dans Le Cid.
Tel est pris qui croyait prendre. Jean de La Fontaine. Le Rat et l’Huître, neuvième fable.
Le 57e Ronin a été le con d'un dîner à deux reprises au moins. Il peut donc en parler en connaissance de cause. Comme dans le film Ridicule, le dîner est orchestré par une abjecte courtisane, soit pute de Chatenay-Malabry, soit radasse de Brest.

Si les deux putes sont foncièrement différentes dans l'approche de leur proie, leur objectif est unique : elle veulent vous faire accoucher, ces deux maudites matrones, par le corps ou par l'esprit, par la tête ou par le siège. Elles veulent vous presser le citron, vous sucer votre substantifique moelle. Rien de plus et rien de moins.
La pute de Chatenay-Malabry est la plus toxique : elle a de petits nichons, mais une grosse tête, et un seul lardon. Elle est très méchante, mais elle a oublié d'être bête. Bref, c'est un génie du mal, comme Moriarty, l'ennemi de Sherlock Holmes chez Arthur Conan Doyle.
La radasse de Brest arbore fièrement de gros nichons, avec un bonnet 95C, mais elle ne possède qu'une moitié de cerveau. Elle a pondu officiellement trois lardons, mais plus par des GPA ou gestations pour autrui, soutenues et financées par la machination des blouses blanches.
Toutes les deux sont des sadiques, des dominatrices, comme une certaine Cruella d'Enfer. L'une veut vous soutirer vos opinions politiques, l'autre veut vous soutirer le résultat de vos recherches, et accessoirement votre ADN. Et gratuitement, en plus. Elles sont folles et sans limites. Ce sont des femmes fortes, libres et indépendantes, comme Simone de Beauvoir et la marquise de Merteuil du roman Les liaisons dangereuses. Et bien sûr, seules, terriblement seules, désespérément seules ! Parce qu'elles le valent bien !
Petit aparté littéraire en date du 11 octobre 2025.
La meilleure réponse de Normand est le jugement de Pierre Corneille sur le cardinal de Richelieu après son décès.
Il m'a fait tellement de bien que je ne peux pas en dire du mal. Il m'a fait tellement de mal que je ne peux pas en dire du bien.
Quant à Beaumarchais, après le succès et les premières représentations de sa pièce de théâtre « Le Barbier de Séville », l'auteur refuse le règlement unique de la Comédie française. Il estime mériter des revenus réguliers, basés sur le nombre de représentations et les recettes qu’elles engendrent.
Esprit de Blanche Gardin, es-tu là ? Si tu es là, envoie un signal sonore dans mon sonar ! Frappe 3 coups ! Per Ricardo, per Schumpeter, et per Maurice Allais invictus, je te l'ordonne en vertu des pouvoirs économiques dont je suis investi ! Hocus pocus, Alakazam, et habemus papam !
Beaumarchais créa en 1777 la société des auteurs et compositeurs dramatiques, ou SACD. Beaumarchais représente le détenteur d'un capital immatériel, intellectuel dans son cas particulier, acquis par son talent et par le temps passé à lire et à écrire. Les comédiens sont des travailleurs utilisant ce capital immatériel pour gagner leur pain quotidien. Les représentations du spectacle vont générer de la valeur ajoutée, si la pièce a du succès, bien sûr. Reste la question cruciale .....
Pour la connaitre, il faudra payer !!!
Pas de repas gratuit, ici ou ailleurs !

