Con comme un journaliste
C'est si bon de rire
Selon le quotidien parisien massivement subventionné Le Monde, les policiers du NKVD, oups, erreur ! de la DGSI ont perquisitionné le domicile parisien d'un citoyen Russe et ont trouvé des documents d'intérêt diplomatique ainsi qu'une carte d'une unité d'élite des forces spéciales Russes qui agit sous le commandement du service de sécurité de la fédération de Russie (FSB).
- Regardez, commissaire San Bitonio ! J'ai trouvé la carte professionnelle du FSB de l'espion russe dans son portefeuille. C'est écrit dessus ФСБ en lettres cyrénaïques. C'est bien la preuve imparable et ultime !
- Bravo, inspecteur Berruyer ! Mais je vous corrige : ce sont des lettres cyrilliques. Tout est clair, maintenant ! Comme Sherlock Holmes le disait au docteur Watson : Alles klar ! Son compte est bon à ce Popof du FSB ! Après un tel coup d'éclat, je prévois pour vous et moi une belle promotion.
- Dans la police ou dans la franc-maçonnerie, commissaire ?
- Les deux, inspecteur, les deux ! L'un ne va pas sans l'autre. Vous devriez le savoir maintenant, vu votre ancienneté à la DGSI.
Morale de cette belle fable :
Qui veut trop prouver, ne prouve RIEN, car cette histoire est trop belle pour être vraie.
On ne sait pas si le ou la journaliste du Monde qui a pissé l'article est con ou pourri. Vraie pute ou parfaite imbécile ? Le cumul est possible et même fort probable.